Tout ce qu’il faut savoir sur l’atomiseur de la vapoteuse

La vapoteuse ou e-cig ou encore cigarette électronique est un dispositif utilisé pour sortir de la consommation de tabac. C’est une des alternatives les plus prisées par les fumeurs à part les patchs, etc. Il est constitué de plusieurs éléments dont l’atomiseur. Celui-ci est l’élément le plus important qui assure son fonctionnement. Il assure la production de vapeur et le rendu des saveurs procuré par l’e-cig. Il y a le clearomiseur et l’atomiseur reconstructible ou RTA (rebuildable tank atomize). Voici tout ce qu’ilf aut connaitre à son propos. 

Faire la différence entre clearomiseur et atomiseur 

Actuellement, l’appellation clearomiseur commence à disparaitre petit à petit. Elle n’est plus très utilisée. Il faut noter cependant qu’à l’origine, un atomiseur désignait plutôt un atomiseur reconstructible tandis qu’un clearomiseur est un atomiseur qui permet d’utiliser des résistances prêtes à l’usage. Ceci-dit, le clearomiseur est donc un atomiseur plus facile d’utilisation et l’atomiseur reconstructible est plutôt fait pour les fumeurs d’e-cigarettes voulant manipuler plus leurs dispositifs. Ils doivent être des vapoteurs confirmés et expérimentés qui ont des bonnes connaissances de la vape. 

Qu’est-ce qu’un atomiseur ?

Le terme « atomiseur » peut être utilisé pour regrouper tous les dispositifs qui assurent la production de vapeur avec du liquide. Il s’agit ici de l’utilisation basique d’un atomiseur reconstructible, par opposition à un clearomiseur. Ce dernier se sert de résistances toutes prêtes. Les deux se diffèrent de par leur fonctionnement et leur usage. Le modèle RTA permet de faire sa résistance et la mèche de coton. Mais pourquoi opter pour cette alternative au lieu d’une autre solution toute prête ? 

D’abord, c’est un modèle qui permet d’optimiser son expérience de vape. L’usager peut déterminer la résistance exacte qui lui convient en fonction de la puisse de vape et du rendu des saveurs qu’il cherche. 

Ensuite, le choix de l’atomiseur reconstructible peut aussi avoir une raison financière. En optant pour une résistance prête à l’emploi, la dépense varie entre 2 et 5 euros et elle doit être changée entre 2 à 4 fois par mois. Si l’e-liquide utilisé a une tendance à s’encrasser, la fréquence pour le changement peut être plus élevée. Le budget peut donc grimper considérablement. En prenant un atomiseur RTA, la dépense est considérablement réduite. Quelques centimes suffisent pour s’acheter un coton adapté et un morceau de fil résistif.

Et enfin, le choix peut dépendre de l’aspect récréatif de l’e-cig. Réaliser soi-même les montages, c’est en quelque sorte s’adonner à un moment de bricolage. Les usagers peuvent alors y prendre goût et s’amuser en faisant l’opération. Dans le cas contraire, c’est-à-dire si le montage est considéré comme un long travail agaçant, le mieux est d’acheter une résistance prête à l’emploi.  

De quoi est constitué un atomiseur ?

L’atomiseur est composé de plusieurs éléments dont : 

• l’embout buccal ou le drip tip qui est à mettre dans la bouche. Il permet de tirer la vapeur et ainsi, de ressentir les sensations de vape. 
• le top cap qui est un élément assurant la fixation du drip tip au reste de l’atomiseur. Il est en quelque sorte le couvercle du dispositif. 
• la cheminée ou la colonne d’air qui conduit la vapeur jusqu’à l’embout buccal.
• le réservoir ou tank dans lequel l’e-liquide est mis. 
• la chambre d’atomisation ou cloche englobe le plateau reconstructible et c’est là que la vapeur se forme. 
• le plateau de montage ou deck est l’élément qui reçoit les résistances. 
• la bague d’arrivée d’air ou airflow qui assure le passage direct de la vapeur inhalée dans les poumons.
• le bottom cap ou base qui est la partie inférieure de l’atomiseur et qui permet d’insérer la batterie. 
• le pin de connexion ou pas de vis qui permet d’ouvrir le bottom cap.

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